Avis de recrutement de personnes aptes à être nommées au poste de membre et vice-présidente ou de membre et vice-président responsable du mandat jeunesse
La secrétaire générale associée aux emplois supérieurs au ministère du Conseil exécutif, en collaboration avec la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (ci-après « la Commission »), invite les personnes intéressées et qui possèdent les qualités recherchées à soumettre leur candidature afin de constituer une liste de personnes aptes à être nommées au poste de membre et vice-présidente ou de membre et vice-président responsable du mandat confié par la Loi sur la protection de la jeunesse (chapitre P-34.1) à la Commission.
Ces candidatures sont recherchées en vue de pourvoir un poste à temps plein.
Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse
La personne titulaire de l’emploi, sous la supervision du président de la Commission, participe à la conduite des affaires de la Commission et à l’accomplissement de sa mission. Elle assume, plus particulièrement, mais non exclusivement, la responsabilité du respect du mandat confié par la Loi sur la protection de la jeunesse (chapitre P-34.1), sans compter l’interrelation avec le mandat confié à la Commission par la Charte des droits et libertés de la personne (chapitre C-12). À ce titre, la personne titulaire doit notamment :
Montréal ou Québec
L’Assemblée nationale, sur proposition du premier ministre, nomme, avec l’approbation des deux tiers de ses membres, la vice-présidente ou le vice-président pour un mandat d’au plus dix ans. Le traitement est déterminé par le gouvernement suivant les Règles concernant la rémunération et les autres conditions de travail des titulaires d’un emploi supérieur à temps plein (décret 450-2007 du 20 juin 2007 et les modifications qui y ont été ou qui pourront y être apportées). L’échelle de traitement, applicable au 2 avril 2022, varie de 130 732 $ à 169 950 $.
Une personne retraitée du secteur public reçoit un traitement qui correspond à celui qui devrait lui être attribué pour occuper le poste visé, duquel est déduit un montant équivalant à la moitié de la rente de retraite qu’elle reçoit de ce secteur. Ce montant est déduit jusqu’à l’expiration d’un délai de deux ans suivant la date de la retraite.
Nomination par l'Assemblée nationale
La Commission a pour mission d’assurer la promotion et le respect des principes énoncés dans la Charte des droits et libertés de la personne (chapitre C-12) ainsi que la protection de l’intérêt de l’enfant et le respect et la promotion des droits qui lui sont reconnus par la Loi sur la protection de la jeunesse (chapitre P-34.1). À ces fins, elle exerce les fonctions et les pouvoirs que lui attribuent cette Charte et cette loi.
La Commission doit aussi veiller à l’application de la Loi sur l’accès à l’égalité en emploi dans des organismes publics (chapitre A-2.01). À cette fin, elle exerce les fonctions et les pouvoirs que lui attribuent cette loi et la Charte des droits et libertés de la personne (chapitre C-12).
La personne candidate doit détenir un diplôme universitaire dont l’obtention requiert un minimum de 90 crédits (baccalauréat) en droit, sciences sociales, administration ou tout autre domaine pertinent. Elle doit posséder une expérience d’au moins dix années dans le domaine du droit de la jeunesse, de la protection de la jeunesse ou des services sociaux. Elle doit aussi avoir une expérience significative en gestion dans un secteur pertinent.
La personne candidate doit faire la démonstration que ses expériences lui ont permis d’acquérir une connaissance approfondie et une excellente compréhension du milieu de la protection des personnes, notamment avec les enfants et les jeunes.
Dans son évaluation des candidatures, le comité de sélection tiendra compte, notamment, des critères suivants :
Veuillez soumettre votre candidature avant le 8 août 2024, à 16 h 30 (HAE), en cliquant sur le bouton Je veux postuler. Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter la section Comment poser sa candidature.
Aux fins de la vérification de votre admissibilité, il est important de préciser chacune de vos expériences de travail pertinentes dans la section Curriculum vitæ de votre dossier personnel et de fournir une copie des documents qui prouvent que vous remplissez les conditions d’admission particulières. Finalement, vous devez exposer votre intérêt à occuper les fonctions de vice-présidence responsable du mandat jeunesse de la Commission.
Seuls les dossiers complets et reçus avant la date et l’heure limites seront considérés. Une fois que vous aurez soumis votre candidature, les renseignements contenus dans votre dossier seront examinés et ne pourront être modifiés.
Pour des renseignements concernant ce poste, veuillez communiquer avec Mme Josée Morin, directrice du Secrétariat général et secrétaire générale adjointe de la Commission, au 1 800 361-6477, poste 8203, ou à josee.morin@cdpdj.qc.ca.
Si vous n’êtes pas en mesure de soumettre votre candidature ou si vous éprouvez des difficultés avec ce site Web, veuillez communiquer avec le Secrétariat aux emplois supérieurs en utilisant les coordonnées indiquées dans la section Nous joindre.
Le ministère du Conseil exécutif et la Commission encouragent la diversité et l’égalité en emploi en invitant les femmes, les membres des minorités visibles et ethniques, les personnes handicapées ainsi que les Autochtones à déposer leur candidature.
AVIS AUX PERSONNES CANDIDATES
Les renseignements et les documents qui concernent les candidates et les candidats ainsi que les travaux du comité sont confidentiels. Par conséquent, la personne doit s’engager à préserver la confidentialité du dépôt de sa candidature et de toute décision prise à l’égard de celle-ci.
Pour plus d’information, vous pouvez consulter le site de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, la Charte des droits et libertés de la personne (chapitre C-12), la Loi sur la protection de la jeunesse (chapitre P-34.1), la Loi sur l’accès à l’égalité en emploi dans des organismes publics (chapitre A-2.01), la Loi sur le système de justice pénale pour adolescents (L.C., 2002, ch.1) ainsi que le Profil de compétences des titulaires d’un emploi supérieur en situation de gestion.